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Manu Dibango, qui se produira samedi soir au centre culturel Tjibaou dans le cadre du Nouméa Jazz Festival, a une carrière immense, qui a débuté dans les années soixante.
Après le succès aux Etats-Unis de l’un de ses tubes, Soul Makossa, le saxophoniste se produit sur la mythique scène de l’Appollo, de Harlem, à New York, en 1973. Il évoque le souvenir de cette époque, mais jette aussi un regard sur le succès, en rappelant l’importance du public. Il évoque aussi l’importance du métissage dans sa musique.
Manu Dibango se produira samedi soir au centre culturel Tjibaou, à l’occasion de la première édition du festival Jazz à Nouméa, organisé en collaboration avec le festival jazz à Vienne et l’AFMI (association de formation des musiciens intervenants).
Après le succès aux Etats-Unis de l’un de ses tubes, Soul Makossa, le saxophoniste se produit sur la mythique scène de l’Appollo, de Harlem, à New York, en 1973. Il évoque le souvenir de cette époque, mais jette aussi un regard sur le succès, en rappelant l’importance du public. Il évoque aussi l’importance du métissage dans sa musique.
Manu Dibango se produira samedi soir au centre culturel Tjibaou, à l’occasion de la première édition du festival Jazz à Nouméa, organisé en collaboration avec le festival jazz à Vienne et l’AFMI (association de formation des musiciens intervenants).